Legalisation Cannabis Marche Mondiale en 2013

0


Communiqué : Samedi 4 mai 2013, « Marche Mondiale du Cannabis à Paris édition 2013 Â»
Depuis 2001 en France, la « Marche Mondiale du Cannabis Â» s’organise chaque année. A Paris comme à Los Angelès, Tokyo, Moscou ou Tel Aviv, ceux et celles demandant des alternatives à la prohibition, partisans d’une réforme de la politique en matière de stupéfiants, pour une réglementation plus juste et humaine (en particulier pour le cannabis) manifesteront pacifiquement Samedi 4 mai.Il existe un truc simple afin de tromper le test dans la salive pour la detection du cannabis ou encore marijuana. Cette methode consiste à adopter ce que l’on denomme un cannabis cleaner, il s’agit seulement d’un produit bioorganique qui peut servir à eradiquer le THC coutourner le test canabis via un kleaner

Cet événement a lieu depuis 1999 dans plus de 300 villes du monde entier, simultanément chaque premier samedi du mois de mai. Pour cette douzième édition d’un bout à l’autre de la planète « France Cannabis Â», on manifestera au pays du chanvre (Aube), du Pakalolo (Polynésie) et du Zamal (La Réunion).

Rendez-vous à : Fort-de-France – Malecon (Martinique), Lyon (Place Carnot 15h), Papeete (Parc Bougainville 9h à 12h), Paris (Bastille 14h), Rennes (Place de la Mairie 14h), Saint Gilles – Ti Boucan (La Réunion), Toulouse (Prairie aux Filtres 14h), Troyes (Place Jean Jaurès 14h).
Paris : https://www.facebook.com/events/104512503040821/
Toulouse : https://www.facebook.com/events/325502234214650/
Troyes : https://www.facebook.com/events/220737744725078/
FDF Malecon : https://www.facebook.com/events/490384301015835/
Ti boucan ( ST Gilles) : https://www.facebook.com/events/520480581327371/

Mots d’ordre : Dépénalisation, auto-production, cannabis thérapeutique. Pour des alternatives à la prohibition – libération du cannabis.

Avec des revendications citoyennes, soutenues par un collectif d’organisations réunissant : AFR, AIDES, ASUD, Cannabis Sans Frontières, CIRC, Principes Actifs, Jeunes Ecologistes, Jeune Radicaux de Gauche, Ligue des Droits de l’Homme, Mouvement des Libéraux de Gauche, Nouveau Parti Anticapitaliste, Secours Vert, Techno +, MMP…

- La réforme de la politique française en matière de cannabis et l’ouverture d’un débat public sur la loi du 31 décembre 1970
- Une régulation de la production, de la distribution et de la consommation de cannabis protégeant aussi bien le consommateur que l’ensemble de la société
- La dépénalisation de la consommation, de la possession et de l’autoproduction pour usage personnel
- La prescription de cannabis dans un cadre thérapeutique
- Une prévention pragmatique et ciblée en direction des mineurs et des usagers en difficulté
- Une information cohérente et objective sur les effets et les pratiques de consommation réduisant les risques
- La possibilité pour les usagers de se regrouper et d’organiser des filières courtes de production, de distribution, ainsi que l’usage social dans des lieux adéquats
+ d’infos :
- http://www.demosphere.eu/node/36574

Comité Ad’Hoc d’Organisation de la Marche Mondiale du Cannabis 2013 à Paris
C/O ASUD 32, rue Vitruve 75020 Paris
HTTP ://MARCHE.MONDIALE.FREE.FR
Contacts :
Farid Ghehiouèche : 06 14 81 56 79
Jean-Pierre Galland : 06 85 54 48 32
Fabrice Olivet : 06 04 51 33 82

article original

Cannabis Social club : entre avenir et entraves

0

Une première en France. La semaine dernière, la Préfecture de Vendée autorisait officiellement la création d’un “Cannabis Social Club”, ou CSC. Les cinq personnes à l’origine du dossier recevaient alors une attestation officielle avec un numéro d’association. Un mouvement qui semble en marche puisque dans les jours suivants, le porte-parole du Cannabis Social Club de France voyait son club validé par une autre préfecture voisine. Des scientifiques ont trouvé une methode rapide dont l’objectif est de tromper le test de controle salivaire de le controle du cannabis ou hashish. Ce moyen consiste à adopter ce que l’on denomme un canabis cleaner, c’est un produit bioorganique qui peut servir à effacer le Cannabis afin de contrer test canabis Sa vocation étant de fédérer l’ensemble des autres clubs qui devraient voir le jour prochainement.

Il existe aujourd’hui plusieurs centaines de Cannabis social clubs en France – 700 selon le représentant du club “national”. Chaque jour, des nouveaux groupes tentent désormais d‘être légaliser à leur tour. Une “carte verte” du “peuple de l’herbe” a même été conçue. Ces “fumeurs responsables” y ont inscrit leur slogan : “Pour que la société évolue et arrête d‘être hypocrite”. Une “carte blanche” a elle aussi été lancée pour les “non-fumeurs” (du moins, pas de cannabis) afin qu’ils puissent exprimer leur soutien à la cause. Dominique Broc, porte-parole du mouvement, se félicite d’un “réveil du peuple de l’herbe” et compare même ce qu’il appelle un “printemps vert” au printemps arabe.

Des associations où les membres cultivent du cannabis ensemble sans en faire commerce existent déjà en Espagne et en Belgique. Les partisans justifient ces clubs par la lutte contre les trafics et la mauvaise qualité des produits. En France, ces groupes restent illégaux.

Le début d’une guerre avec l’Etat

Une Préfecture qui reconnait une association de ce type apparaît être un pas vers la légalisation de la consommation du cannabis. La guerre semble déclenchée entre pros et anti-cannabis. Après cette décision, une première en France, le conseil général de Vendée a saisi le parquet en affirmant vouloir “mettre à l’abri les jeunes du fléau de la drogue”.

Mais la législation européenne est favorable au CSC. Si l’Union Européenne affirme que “la culture de plantes de cannabis, effectuée illégalement, est un délit punissable”, elle précise que “leurs auteurs qui s’y livrent exclusivement à des fins de consommation personnelle telle que définie par la législation nationale” sont exclus de ce champ. Le débat est donc relancé en France. Dominique Broc demande au gouvernement de trancher sur la question.

Une “désobéissance civile”

Lundi, le porte-parole comparaissait devant la justice pour usage et détention illicite de drogue et provocation à l’usage de stupéfiant. Mais à la barre, le jardinier de 44 ans a eu droit à sa tribune et a plaidé pour “un combat politique d’ampleur nationale mené contre l‘économie souterraine”. Une trentaine de militants étaient venus le soutenir.
Il a dénoncé devant le président de la cour l’hypocrisie régnante : “Tous les membres des clubs sont déjà consommateurs: Je ne les invite pas à consommer mais à consommer mieux.” En défendant la “désobéissance civile”, son avocat a multiplié les références à des personnages qui ont lutté pour des grandes causes tels que Martin Luther King et Gisèle Halimi dans son combat pour l’IVG.

Pour la défense, il existe quelque 200 000 producteurs de cannabis en France : “la loi de 1970 est inadaptée”. Au procureur de répondre : “La loi peut être discutée, dénoncée. Mais cela ne signifie pas pour autant qu’on peut s’autoriser à la violer parce qu’elle ne nous plaît pas. Le ciment qu’est la loi pour une société, cela veut dire quelque chose. Penser qu’on peut s’asseoir dessus, c’est un peu facile.” Huit mois de prison avec sursis ont été requis contre Dominique Broc.

Le jugement sera rendu le 18 avril prochain. En attendant, douze assignations ont été adressées au porte-parole du premier CSC légalisé en France, dans le but de dissoudre la fédération dont les statuts viennent d‘être publiés dans le Journal officiel.

Malgré l’interdiction, un Français sur cinq aurait déjà consommé du cannabis une fois dans sa vie selon l’OFDT.

source

Le blog des drogués heureux

0


Le pape du soin aux toxicomanes a traumatisé bien des usagers de drogues et notamment de cannabis. La société française s’est ainsi façonné une image du drogué amoral, ordalique et lamentable.


Certains affirmeront qu’il est impossible d’être heureux en consommant du cannabis et des drogues. Alors pourquoi existet-il tant de millions d’usagers au travers des âges  ? La resines de cannabis ne rencontreraient pas un tel succès si elles n’apportaient pas de plaisir, de socialisation, d’apaisement de l’angoisse ou de la douleur physique et morale. Il y a un moyen efficace pour contrer les tests de controle salivaire de le controle du cannabis ou bien marijuana. Cette parade est basée sur le fait d’utiliser ce qu’on désigne comme un cannabis kleaner, c’est un produit afin éliminer le cannabis et être négatif au test cannabis


D’autres certifieront que la lune de miel avec les produits se termine toujours par la dépendance et la déchéance. Alors pourquoi sur les 250 millions de consommateurs de stupéfiants recensés dans le monde, l’Organisation des Nations unies (page 13 du rapport 2011 [PDF] de la Global Commission On Drug Policy) estime-t-elle que moins de 10% peuvent être classés comme dépendants ou « consommateurs problématiques de stupéfiants » ?


La réalité de l’usage de drogues fluctue autour de trois stades  : l’usage, l’abus et la dépendance. Comment réguler sa consommation pour rester dans la modération  ? Comment limiter les risques et les dommages en cas d’abus  ? Comment limiter l’impact négatif d’une dépendance et favoriser le retour à une consommation maîtrisée ou à l’abstinence  ? Voilà les bonnes questions.


Le journal de l’association ASUD a été fondé en 1993 par le sociologue Abdallah Toufik et des usagers de drogues regroupés sur le modèle de l’autosupport hollandais, la Junkie bond. Son principal objectif était de lutter contre l’épidémie de SIDA chez les injecteurs de drogues en diffusant de l’information objective sur les bonnes pratiques de consommation et en militant pour une politique de réduction des risques (Rdr) alors quasi-inexistante en France.


Nous voulions déjà rétablir pleinement la citoyenneté de l’usager et défendre ses droits dans les institutions de santé et face aux autorités. Vaste programme encore inachevé. Pour y parvenir, nous avons toujours été soutenus financièrement par le ministère de la Santé et des organisations privées comme le Sidaction.


Depuis, l’accueil des usagers à bas seuil d’exigence comme l’échange de seringues et les médicaments de substitution aux opiacés ont démontré leur efficacité tant sur un plan sanitaire que social. La Rdr est maintenant entrée dans la législation française notamment par le Décret n° 2005-347 du 14 avril 2005. Avec les interventions en milieu festif, nous avons étendu notre champ d’action à d’autres pratiques que le shoot et à d’autres produits que les injectables, par exemple l’échange de paille pour sniffer, la Rdr du MDMA ou du cannabis.


La diffusion d’informations objectives, du matériel stérile et des conseils pratiques a permis de résorber la contamination par le VIH chez les injecteurs et diminuer les overdoses. Le bilan sanitaire en matière de drogues de la vague techno des années 90/2000 est bien moins dramatique que celui du rock des années 70/80 malgré une hausse sensible de la poly-consommation et de nombreux produits nouveaux. Notre Rdr est une politique de santé publique qui fonctionne, un exemple mondial de réussite.

Le journal d’ASUD (dernier numéro)


ASUD est une association nationale avec quatre antennes régionales (Evreux, Orléans, Marseille et Nîmes). Les antennes régionales du Sud sont des Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUD), le bureau d’Orléans intervient principalement sur le festif.


Le bureau parisien s’occupe du journal, du site internet asud.org, de l’édition et de la diffusion de nos plaquettes d’information comme le manuel du shoot à moindre risque ou les carnets de Roule ta paille pour sniffer propre, de l’Observatoire du droit des usagers (ODU) dont je suis le coordinateur, de la représentation des usagers et du programme de réforme de la politique des drogues.


Nous pensons que la criminalisation et la stigmatisation multiplient inutilement les dommages de l’usage de drogues, l’hécatombe du Sida en apporte la preuve, la répression discriminatoire et l’incarcération sans résultats tangibles hormis la hausse des contaminations en sont une autre (voir la page 6 du rapport GCDP 2012 [PDF]). Nous pensons qu’une politique fondée sur des données scientifiques fiables de régulation publique du marché des drogues et de réduction des risques et des dommages liés à l’usage serait plus efficace que la prohibition et la war on drug.


Pour partager les dernières nouvelles de la planète drogues, pour échanger des expériences avec les riverains usagers de drogues (j’en connais), pour faire évoluer l’image des usagers auprès des autres riverains (j’en connais aussi) et des lecteurs qui ne commentent pas (ils devraient), pour penser contre soi avec les commentateurs hostiles et faire évoluer notre argumentation, nous voulons sortir du petit monde des usagers experts, des experts autoproclamés, des scientifiques et des autorités.


Inspiré par l’affaire Lance Armstrong, nous avons titré notre dernier numéro «  Dopage à tous les étages  ». Ces prochains jours, je vais publier les bonnes feuilles sur ce blog. Puis nous partirons en griller un dans un coffeeshop en mémoire de feu le Wietpass.


voir la source de cet article


A regarder en plus :


être négatif au test salivaire canabis.

Cannabis thérapeuthique. Amende avec sursis pour un myopathe fumeur

0

Souffrant de myopathie, il affirmait fumer du cannabis par « nécessité » thérapeutique mais n’a pas réussi à convaincre le tribunal correctionnel de Belfort : Dominique Loumachi a été condamné mercredi à 300 euros d’amende avec sursis et va faire appel.


Ce myopathe de 40 ans était poursuivi pour « usage et détention » de cannabis, après la découverte par la police chez sa soeur de trois plants de chanvre indien, qu’il cultivait pour sa consommation personnelle depuis 1992.


La peine, assortie de cinq ans de mise à l’épreuve, est conforme aux réquisitions du parquet.


Atteint de myopathie depuis l’enfance, Dominique Loumachi demandait à la justice de lui reconnaître l’usage du cannabis comme une « nécessité ». Tout en admettant ne pas être surpris par la décision du tribunal, il a aussitôt annoncé qu’il ferait appel. « Je me battrai jusqu’à la Cour européenne (des droits de l’Homme) s’il le faut », a-t-il ajouté une fois la décision rendue.


A l’appui de son dossier, Dominique Loumachi avait fourni une attestation du docteur François Ziegler, chef de service de neurologie de l’hôpital de Belfort-Montbéliard. M. Loumachi « a une maladie neuromusculaire très rare et la pharmacopée classique ne suffit pas a soulager ses douleurs. Dans son cas, qui n’est pas fréquent, le cannabis peut être efficace », a déclaré mercredi le docteur Ziegler, Enfin une technique simple pour contourner le test salivaire de controle du cannabis ou encore hashish. Cette astuce consiste à utiliser ce qu’on nomme un cannabis cleaner, c’est un produit bio organique qui permet eradiquer le THC dejouer test salivaire cannabis qui confie avoir quelques patients dans la même situation.


Il n’a pas « accompli l’ensemble des démarches légales pour se faire soigner »
A l’audience, le 14 décembre dernier, le parquet avait assuré avoir pris en compte les arguments du médecin. Mais le prévenu n’a pas « accompli l’ensemble des démarches légales pour se faire soigner », a soutenu le substitut Christophe Gérot, en charge de l’affaire au parquet de Belfort.


Il existe en effet selon le parquet une procédure légale, dite de l’ATU (une autorisation temporaire d’utilisation), pour obtenir du Marinol, un cannabinoïde élaboré en laboratoires. D’après l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), une centaine d’ATU ont été autorisées en France depuis 2001, sur environ 150 demandes. Or Dominique Loumachi refuse de prendre ce médicament « synthétique et sous-dosé », et dit préférer fumer, infuser ou cuisiner du cannabis.


Son avocat, Me Jean-Charles Darey, avait plaidé la relaxe en s’appuyant sur l’arrêt de la cour d’appel de Papeete (Polynésie française) du 27 juin 2002, qui a relaxé un homme paraplégique utilisant du cannabis pour calmer ses douleurs. D’après Fabienne Lopez, présidente de l’association « Principes actifs », une personne a aussi été relaxée à Bourges en 2011, « mais la plupart du temps, les malades qui utilisent du cannabis sont condamnés ». « La cour de cassation ne s’est pas encore prononcée sur ce dossier et l’arrêt Papeete a été très critiqué par un certain nombre de juristes », note pour sa part le substitut Christophe Gérot.



De multiples traitements médicamenteux aux effets secondaires sévères
Dominique Loumachi souffre depuis l’âge de huit ans de myopathie, une dermatopolymyosite caractérisée par l’inflammation et la dégénérescence des fibres musculaires. Après de multiples traitements médicamenteux aux effets secondaires sévères, il a fini par rejeter la prise de comprimés. « Je n’ai que le cannabis pour soulager mes douleurs et détendre mes muscles, donc je continuerai à fumer. C’est mon seul traitement », assure Dominique Loumachi, qui estime mener un combat « pour tous les malades ».


Il se « sent hors la loi ». « La justice ne cherche pas à faire évoluer la société et me considère comme un toxicomane, comme un voyou et non comme un malade », regrette-t-il. « Je ne demande pas qu’on légalise le cannabis, qui reste une drogue, mais seulement qu’on tolère son usage thérapeutique, sur ordonnance d’un médecin », fait-il valoir. Et Dominique Loumachi de déplorer « qu’on teste les salles de shoot alors qu’on oublie de parler de l’usage thérapeutique » du cannabis.



original article

Brest. Un trafic de cannabis démantelé

0

Les gendarmes de Plabennec, épaulés par ceux de la compagnie de Brest et de la brigade de recherches, ont mis au jour, en milieu de semaine, un trafic de stupéfiants et interpellés dans la foulée six individus de 18 à 40 ans. 1,5 kilo de shit a été retrouvé au domicile d’un d’entre eux, à Bellevue. Quatre d’entre eux ont été placés sous contrôle judiciaire et deux autres écroués selon les casiers judiciaires et les implications reprochées aux uns et aux autres. Une information judiciaire a été ouverte.


original article

Cannabis. Lundi, jour J pour les Social Clubs

0

C’est lundi que plusieurs « Cannabis Social Clubs » ont prévu d’aller déposer leurs statuts dans les préfectures dont ils dépendent. Quelques semaines après la mise en examen de leur principal promoteur Dominique Broc, l’affaire est risquée.


Iront, iront pas ? Plusieurs Cannabis social clubs (CSC), groupements de personnes qui cultivent du cannabis et partagent leur production entre eux sans en faire commerce, vont se déclarer dans plusieurs préfectures lundi, a expliqué ce vendredi le porte-parole du mouvement Dominique Broc.


« La Fédération existe en tant qu’association »
L’objectif de ces groupements, qui prônent la dépénalisation du cannabis et l’autoproduction, est de se déclarer comme des associations à but non lucratif (loi 1901) et faire reconnaître légalement leur activité. Ces Cannabis social clubs, dont certains existent de fait parfois depuis plusieurs années, sont illégaux en France mais existent déjà en Espagne et en Belgique. Enfin un moyen rapide afin de déjouer le test salivaire de detection du cannabis. Ce truc consiste à adopter ce qu’on appele un cannabis cleener, c’est un compose bio organique pour neutraliser le CANNABIS être négatif au test cannabis Au total, plus de 400 Cannabis social clubs existent, affirme Dominique Broc, mais tous ne vont pas se déclarer lundi, faute d’avoir établi leurs statuts dans les temps.
Le 4 mars, il a déposé en préfecture d’Indre-et-Loire les statuts de la »Fédération des Cannabis social clubs » et a reçu quelques jours plus tard le récépissé délivré par la préfecture. « Désormais, la fédération existe en tant qu’association », a-t-il affirmé, attendant seulement qu’elle soit publiée au Journal officiel.


Dominique Broc seul devant la Justice le 8 avril
Reste que l’affaire n’est pas sans risque. Dominique Broc lui-même, quelques semaines après avoir indiqué son intention de férérer enyre eux ces CSC, a reçu la visite des forces de l’ordre, qui ont détruit ses installations et l’ont placé en garde à vue. Il est convoqué (seul, pour l’instant) devant la Justice le 8 avril.
Rien n’indique de toute façon que les autorités sont prêtes à accepter ces dépôts. Loin de là, même, puisque la loi stipule que « toute association fondée sur une cause ou en vue d’un objet illicite, contraire aux lois (…) est nulle et de nul effet ».


« Les tribunaux ne pourront pas absorber toutes les plaintes »
Alors, quel intérêt ? Bloquer les tribunaux, expliquait en décembre Dominique Broc : « si nous sommes fédérés et qu’un maximum de groupes de cultivateurs jouent la transparence en montrant ce qu’ils produisent, les tribunaux ne pourront pas absorber toutes les plaintes. Et cela montrera que la loi est inadaptée ».
Réponse, au moins partielle, dans 72 heures.



original article

Cocaïne, cannabis, caféine ou calva : ils se dopent pour bosser

0

Comment travailler plus pour gagner plus ou ne pas se faire virer ? Comment ingurgiter une tonne de cours en deux semaines avant les partiels ? Comment supporter un boulot merdique et répétitif ou des enfants déchaînés dans une classe difficile ?


Les drogues légales et illicites sont souvent utilisées pour supporter la charge du travail. Florilège de témoignages et de chiffres inquiétants, secteur par secteur.


Un soir, j’attendais un pote dans la brasserie où il travaillait. Connaissant le patron, il me convie à sa table pour partager une bouteille de champ’, déjà bien mûr et couineur.



« J’ai six brasseries touristiques avec service en continu de 11 heures à minuit, mon personnel magouille la caisse pour se payer de la coke.


Avant, c’était tranquille, le toubib prescrivait des amphétamines pour tenir le rythme. Maintenant qu’il n’y en a plus, ils ont besoin de beaucoup plus d’argent. C’est la merde. »


Effectivement, mon copain trichait sur les tickets et consacrait ses pourliches à la coke. J’ai connu le monde de la brasserie/traiteur sous speed dans mes premiers boulots au début des années 80 : calva dans les cafés, ballons de blanc à la volée et grosse dose de Captagon.


Certains ajoutaient une injection de Palfium pour masquer leurs douleurs chroniques ou gazer plus, une sorte de pot belge. Les anciens évoquaient souvent les cafetières du personnel d’antan chargées au « Tonton » (Maxiton) ou au « Lili » (Lidépran) par le patron.


Aujourd’hui, d’après le baromètre santé INPES 2010, 9,2% des salariés du secteur hébergement/restauration ont expérimenté la coke, et 7,9% le speed. C’est bien plus que mon secteur information/communication à la réputation poudrée (6,9% et 5,5%) ou que la moyenne nationale (3,8% et 3,3%).


Christian (tous les prénoms de ce texte ont été modifiés), 40 ans, est architecte et fêtard. Il utilisait la coke en série de minilignes pour éliminer la fatigue et stimuler l’intellect pendant la phase finale de conception de ses projets, avant leur présentation, la fameuse « charrette » de trois, quatre jours ou plus.


En temps normal, c’était plutôt bières et pétards, parfois dès la pause déjeuner.



« La bonne haze et la bière, c’est stimulant mais t’as une sale gueule, les yeux rouges, l’odeur qui grille et t’es rétamé pour longtemps si tu dépasses la dose, pas très pro. »


C’est un cocktail classique dans le bâtiment. Ivresse dans l’année : 33%. Cannabis dans l’année : 13%. Du coup, il a commencé à prendre de la coke tout le temps, de la dose homéopathique dans la matinée à l’autoroute dans les soirées.



« Je gagne entre 6 000 et 10 000 euros par mois, j’en claque au moins 1 600 en produit, 40 grammes à 400 euros les 10, le caillou-test fait presque 1 gramme (soit une pureté d’environ 60-70%). »


Aux dernières nouvelles, il avait calmé sa consommation après un séjour dans une fameuse clinique suisse au bord d’un lac.


Les profs sont soumis à un stress énorme, surtout dans les ZEP. J’en connais un wagon qui fument joint sur joint le soir pour évacuer, et parfois même avant les cours. Henry, 50 ans, prof de techno, doit sa carrière à cette substance :



« Après une phase alcoolique, à boire de la bière le matin pour ne plus trembler autant d’addiction que de trouille, je suis devenu un excellent prof en fumant 300 à 400 euros de shit par mois pendant dix ans.


J’étais tout le temps sous l’effet du produit pour supporter la pression, pourtant je suis maintenant un référent dans mon académie. »


voir la source de cet article


A regarder en plus : On trouve un truc dans le but de dejouer le test salivaire de detection du cannabis (marijuana). Ce moyen se base sur le fait d’adopter ce que l’on denomme un cannabis cleener, c’est un compose afin d’eradiquer le CANNABIS : contrer test cannabis

Dominique Broc des Cannabis Social Clubs le proces des fumeurs de THC

0

L’intense campagne médiatique du porte-parole des Cannabis Social Clubs (CSC), dont le point d’orgue a été le dossier de Libération du samedi 16 février, a fini par faire réagir les autorités. Dominique Broc a été placé en garde à vue du 19 au 22 février, et il devra comparaître devant le tribunal correctionnel de Tours le 8 avril prochain.


Comme le précise le communiqué des Amis du Cannabis Social Clubs  :



«  Dominique Broc n’a jamais cherché à faire mystère de ses activités. Partisan de la transparence, il ne s’est jamais réfugié dans les troisièmes sous-sols pour cultiver. […] Les CSC relèvent d’une forme pacifique de désobéissance civile, de celle prônée pour faire reconnaître les droits qui semblent juste de revendiquer.  »


Voici une technique pour dejouer le test de la salive de detection du THC et du cannabis. Ce truc se base sur le fait d’adopter ce que l’on nomme un Cannabis cleaner, il s’agit d’un compose qui permet d’éliminer le Tetrahydrocannabinol : dejouer test salivaire cannabis. Dominique se préparait à une réaction répressive, il a entamé une grève de la faim en garde à vue, comme il l’avait annoncé en cas d’arrestation. Il veut engager le bras de fer avec le gouvernement si la négociation n’est pas possible. Il se sent porté par le peuple de l’herbe, qui lui manifeste déjà beaucoup de   solidarité sur  Internet.   


D’après une interview téléphonique de Dominique Broc (à partir de 20’) réalisée par Farid Ghehioueche, interviewé en décembre dernier par Rue89 à propos des CSC, l’initiative viendrait du procureur Marin de Tours, qui a fait intervenir la gendarmerie. Il avait annoncé son intention de ne pas laisser faire les CSC dans une interview récente au journal local.


Le cannabis, le matériel de culture, le téléphone, l’appareil photo, l’ordinateur, les disques durs et les clefs USB, mais aussi tous les livres, revues, tracts et dossiers traitant de drogues ont été saisis, y compris des journaux d’Asud (auto-support des usagers de drogues).


Les enquêteurs vont sans doute fouiller cette masse d’informations pour établir une cartographie et des listes de participants à cette mouvance semi-clandestine. Toujours dans l’interview téléphonique, Dominique précise :



«  Il y a des gens qui veulent être jugés avec moi, cela ne sera pas possible. […] dans le procès verbal, on voit bien qu’ils ont dissociés le cas des Cannabis Social Clubs, pour l’instant ce n’est que moi.  »


Il est assez logique que la justice ne veuille pas valider l’existence d’une association dont l’objet est de fait illégal. L’objectif est de tuer le projet dans l’œuf, pas de multiplier inutilement les martyrs.


A l’époque de l’envoi des pétards au 577 députés, un petit livre «  Cannabis, nous plaidons coupable  » avait été écrit par les complices de Jean-Pierre Galland dans cette opération, et d’autres lettres de témoignage avaient aussi été envoyées au tribunal pour se dénoncer et demander à comparaître. Seul Galland avait été jugé et condamné. Bis repetita.


Dans sa stratégie Initiale, Dominique Broc prévoyait de déposer les statuts de la fédération des CCS le 4 mars. Si le 25 mars le gouvernement n’avait pas entamé des négociations, il appelait les 450 CSC à déposer en préfectures. Le communiqué de Cannabis Sans Frontières dénonce :



« Cette attaque vise à décapiter notre mouvement, peut-être aussi pour démotiver certains éléments à quelques jours de la déclaration en préfecture de l’association fédérative des Cannabis Social Clubs Français.  »


On peut effectivement se demander quelle sera la réaction des membres des CSC et des sympathisants de ce mouvement. Suivront-ils Dominique Broc dans sa volonté d’assumer ses actes jusqu’aux Assises  ?


Il est plus facile de militer derrière son écran que dans la vraie vie. Iront-ils affronter le risque d’un procès maintenant qu’il n’est plus virtuel  ? Les CSC ont l’intention de maintenir leur agenda, combien les suivront  ?


De cette réponse dépendra beaucoup la possibilité de politiser le procès de Dominique Broc. Il y aurait 200 000 cultivateurs de cannabis en France, et environ quatre millions d’usagers plus ou moins réguliers. L’exemple de Dominique leur donnera-t-il le courage de sortir des placards  ? C’est l’occasion ou jamais.


Dans les prochains jours, les organisations d’usagers (dont Asud) et celles qui soutiennent la réforme de la politique des drogues vont devoir apporter une réponse collective à cette fin de non-recevoir répressive du gouvernement.


Même si nous ne partagions pas tous la même stratégie, nous devons être solidaires de Dominique Broc. Sa prise de risque très médiatisée a largement contribué à faire connaitre les revendications citoyennes des usagers de cannabis.


Nous partageons tous sa volonté de lutter contre les organisations criminelles qui contrôlent le marché et contre les produits frelatés qui circulent largement. Il est donc prévisible qu’une manifestation soit organisée le 8 avril devant le tribunal de Tours.


voir la source de cet article

Cannabis : les Pays-Bas ne reculent plus

0

Depuis environ trois ans, certains médias français font des gros titres sur la fin de la tolérance hollandaise en matière de cannabis. Des experts, comme Xavier Raufer, ont soutenus que les Pays-Bas revenaient en arrière. La réalité est bien plus complexe.


Le « wietpas » (passeport cannabis) n’a été essayé qu’à Maastricht et il n’existe plus aujourd’hui. Le bannissement des étrangers dans les coffee shops n’est pas devenu national (voir carte). Le débat porte maintenant sur une régulation publique de la production et de l’approvisionnement des coffee shops.


Les cannabinophiles français peuvent toujours aller dans les villes tolérantes pour y déguster les spécialités des coffee shops. Une occasion de célébrer cette nouvelle se présente avec le 420 à Amsterdam.


On trouve un moyen dans le but de tromper le test de la salive de despistage du cannabis (hashish). Ce truc consiste à utiliser ce que l’on denomme un Cannabis cleaner, il s’agit d’un composant qui peut eradiquer le Tetrahydrocannabinol : fausser test salivaire canabis. Le 420 est une référence à la consommation de cannabis issue de l’underground anglo-saxon. C’est aussi l’appellation des rassemblements partout dans le monde à 16h20 le 20 avril (420 en américain), où les participants allument un joint en faveur de la légalisation.


L’année dernière, les manifestants d’Amsterdam réclamaient la fin du wietpas et la poursuite de la tolérance pour les étrangers. Ils ont été entendus. Cette année, ils demanderont la fin du système hypocrite et criminogène de la « backdoor » (voir plus bas). Va-t-on vers un nouveau modèle hollandais ?


Pour mieux comprendre les tenants et les aboutissants de cette polémique, j’ai demandé à un spécialiste de la politique du cannabis, Mario Lap, de pouvoir adapter en français cet article publié récemment.


Laurent Appel


Pour comprendre les récents développements politiques autour de la vente de cannabis dans les coffee shops néerlandais, une brève explication de la politique hollandaise contemporaine est nécessaire.


Durant les dernières années, nous avons eu un gouvernement, inhabituel car minoritaire, composé des Chrétiens-démocrates (CDA) et des Conservateurs-libéraux (VVD) soutenu par le parti islamophobe de Geert Wilders (PVV).


Les Chrétiens-démocrates et le parti islamophobe ont adopté une position extrêmement conservatrice en matière de politique des drogues. Ils réclament la fermeture de tous les coffeeshops alors que les Conservateurs-libéraux demandent un meilleur contrôle de la gestion des coffee shops.


En outre, les Pays-Bas ont subi à cause du cannabis des critiques constantes et des pressions de la part des autres pays européens, comme l’Allemagne et la France, prétendant que les coffee shops incitent à l’usage du cannabis dans leurs pays. A Maastricht, le flux de touristes fréquentant les coffee shops, notamment belges et français, a provoqué un débat.


Le ministre de la Justice du gouvernement minoritaire, le chrétien-démocrate M. Opstelten, a proposé un plan ambitieux pour remédier à cette situation. Un pass « herbe » (de « wietpas ») qui oblige à s’enregistrer dans un coffee shop et réserve le cannabis aux résidents des Pays-Bas.


Le Conseil d’Etat hollandais a requis une décision de la Cour européenne de justice sur cette mesure, clairement discriminatoire. La Cour a statué que cette discrimination n’était acceptable que dans des circonstances spéciales comme le trouble à l’ordre public.


A ce moment-là, le gouvernement a perdu le soutien d’une majorité de parlementaires, obligeant à des élections nationales durant l’été 2012. Les résultats ont chamboulé le paysage électoral. Une improbable coalition centriste, des socio-démocrates aux libéraux-conservateurs, est devenue largement majoritaire.


Le programme du Parti du travail (PvDA, le PS local) propose un système de licences de production et de distribution des produits cannabiques. Pourtant, le PvDA a dû négocier un compromis sur cette question lors de la formation du gouvernement. Le maintien en poste du ministre Opstelten, qui voulait sauver la face, y a joué un rôle important.


Le wietpas a été abandonné tant il était clair que ses résultats s’avéraient désastreux. On a constaté un accroissement du deal de rue. Les résidents néerlandais refusaient d’aller s’enregistrer pour le wietpas, transférant ainsi le marché du cannabis hors des coffee shops.


Cela menaçait gravement la pierre angulaire de la politique hollandaise des drogues : la séparation des marchés entre les drogues dures et les drogues douces, donc la réduction des risques.


Dans le même temps, les maires de toutes les grandes villes (particulièrement Amsterdam avec plus de 200 coffee shops) se sont fortement opposés au wietpas et au bannissement des visiteurs étrangers dans les coffee shops.


Environ 10% des touristes venant à Amsterdam le font uniquement pour les coffee shops, quand environ 30% déclarent visiter la capitale hollandaise pour les sites culturels comme les musées et aussi pour les coffee shops. En d’autres termes, les coffee shops sont devenus un facteur économique assez important.


Le compromis a été trouvé autour de solutions locales. Permettre à Maastricht de garder ses coffee shops fermés aux étrangers et à Amsterdam ou Haarlem, par exemple, de les garder ouverts.

Devanture d’un coffeeshop « tolérant » de Haarlem (Mario Lap)


Autre phénomène intéressant, ce nouvel espace pour les politiques locales a renforcé la volonté de villes comme Utrecht, Leeuwarden et Haarlem d’en finir avec le problème de la « backdoor », le système actuel de production et d’approvisionnement des coffee shops. Ces activités sont toujours criminelles. Le cannabis doit apparaître comme par magie à la porte arrière du coffee shop en paquet de 500 g maximum.


Est-ce la fin de la discussion sur le critère de résidence qui bannit les étrangers des coffee shops ? Pas du tout. Il y a plusieurs procédures judiciaires en cours dans le sud du pays. Conformément au verdict de la Cour européenne, les gouvernements locaux vont avoir à prouver que la discrimination était nécessaire et aussi la meilleure solution pour limiter les nuisances et assurer l’ordre public.

« Chers clients… » : affichette multilingue de rappel à la législation


Un dernier aspect méritant d’être mentionné est le débat sur la puissance du cannabis. Le compromis gouvernemental prévoit que la quantité des principes actifs dans le cannabis des coffee shops doit être limitée. Une proposition vraiment ambitieuse et en même temps totalement déconnectée de la réalité.


Dans la situation actuelle, la production comme l’approvisionnement restant strictement illégaux, tout laboratoire testant du cannabis avant son arrivée dans le coffee shop se rend complice d’un crime. Il n’y a donc aucune façon pour les coffee shops de se conformer à ce genre de demande. Même si elle avait un sens.


Mario Lap


voir la source de cet article


A regarder en plus :


être négatif au test salivaire canabis

Résumé et résultats de la Spannabis 2013

0

Affiche de la Xº Spannabis Cup


Cela fut un grand plaisir de pouvoir assister à cette édition anniversaire de la Spannabis, comme de pouvoir en profiter pour travailler coude à coude avec d’autres camarades du secteur. Nous tenons à remercier l’organisation pour l’ambiance unique de cet évenement, nous félicitons aussi le bon déroulement et l’énergie de tout le monde, comme le travail de la remise des prix. Merci! Voila une astuce dans le but de dejouer le test de la salive de detection du cannabis. Cette technique consiste à adopter ce que l’on denomme un Cannabis cleener, il s’agit d’un produit qui peut eradiquer le THC : dejouer test salivaire cannabis.


Une année de plus, voici  la vidéo qu’ont effectué avec beaucoup de talent artistique, Dani et Eva de Claroscuro Studio, avec un résumé des meilleurs moments de cette 10º édition de la Spannabis.


Nous n’oublions pas la Cannabis Champions Cup de cette année, avec un niveau excellent, avec des échantillons de très bonne qualité, comme les années précédentes ; c’est très positif de voir comme les participants s’efforcent à s’améliorer.


Interieur Bio
1.- Papa`s Candy de Cactus Martorell
2.- Exodus Cheese de Green House
3.- Excalibur de Eva Seeds


Exterieur
1.- Cheese de Green House
2.- El Alquimista de Samsara Seeds
3.- Casey Jones de The Devil’s Harvest Seeds


Interieur Hydro
1.- Toxic de la banque de graines Ripper Seeds
2.- Blue cheese Auto de Big Buddha Seeds
3.- X-King de Roor Seeds


Résines
1.- Booba Blue Cheese de Advanced Nutrients
2.- Coconut Budder Cannadian Kush de Medical Seeds
3.- Kosher de DNA Genetics


Meilleure banque de graines:
Ripper Seeds


Meilleur stand de la foire:
Eva Seeds

Trophées de la Cannabis Cup 2013

Mila avec David et Ramon

Ripper Seeds élue Banque de graines de l’année

Arjan et Franco de Green House

Reggae Seeds sur le stand d’Alchimia

Remise des prix à l’équipe DNA

Soma et son T-Shirt Alchimia

Alchimia Team

L’équipe d’Alchimia avec Shantibaba et Mr. Nice


Merci à toutes et à tous d’être venus, soyez heureux et à l’année prochaine!!!


L’équipe Alchimia.


source fausser test cannabis